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**Copines en sacs à dos**
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24 mai 2014

... L'expérience amazonienne ...

Ola todos!

Avant de continuer le récit de mes aventures, une annonce officielle, même si ce n'est plus une surprise pour personne. Et oui, j'étais sensée rentrer en France le 16 mai et toujours personne à l'horizon! Donc vous aurez compris que j'ai repoussé mon voyage parce que je me sens bien ici. Mais seulement d'un mois... toutes les bonnes choses ont une fin... 

Reprenons le fil là où je l'ai laissé. Avant la selva amazonienne (jungle), il y a Lima et encore un peu de montagne...

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Un samedi à Lima - 08-12 avril -

Un traffic d'une densité extrême... Sûrement comme tous les autres jours de la semaine. Il me faudra environ 1 heure 30 pour rejoindre le quartier de Barranco, à 7 kilomètres au sud du centre-ville.

Les surfeurs envahissent la plage et les vagues du quartier de Miraflores, pendant qu'une piste de danse publique, où des "seniors" se déhanchent sur de la salsa, anime le parc Kennedy.

Une manifestation pro gays et lesbiennes gonfle joyeusement la place San Martin.

Mais le pire... C'est la cour des miracle dans la rue piétonne commerçante du centre Les mères qui mendient aux côtés de leur enfant en fauteuil roulant. Sur une pancarte, je peux lire "Por favor ayudame, mi hijo es un vegetable" (s'il vous plait aidez-moi, mon fils est un légume). Des aveugles, beaucoup d'aveugles (un traffic?) chantent à chaque coin de rue avec leur sono. Un nain traîne son présentoir de friandises, presque aussi grand que lui. Une mère et son enfant vendent quelques malheureux chicles (chewing-gum). Des hommes-peluches-géantes-publicité se déhanchent ridiculement devant des devantures de magasins. Les rabatteurs quotidiens de tatouages-percings (entendre marijuana...) donnent toujours de la voix tous les 10 mètres. Et dans tout ce bordel pathétique et misérable, le flot de passants... indifférent et imperturbable...

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Un vrai musée cet hôtel ! Un labyrinthe de bois, escaliers, balconnets, ornés d'une foultitude de tableaux, scultpures et autres lustres.

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Une ménagerie aussi ! Sur le toit terrasse où se trouve mon dortoir, pas moins d'un paon, deux perroquets et trois tortues !

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HUARAZ et la Cordillère Blanche - 13-21 avril -

Départ en solo. Ca commence mal, je me retrouve à Huaraz dans un hôtel tout mort... Alors au bout de deux jours sans presque voir personne, je décide de sortir de ma léthargie sociale et de changer de décor. Changement de décor en effet ! L'hôtel Caroline est plein de vie, plein de nationalités et plein de rires. Je fais vite de nombreuses rencontres. Les dueños (patrons) et leurs enfants sont adorables et je fais vite presque parti de la famille. Apéro Pisco dans la cuisine familiale, petit dej' au soleil sur la terrasse, soirée en boîte (si si !), je ne vois pas la semaine passer !

Bon sinon je ne fais pas que glander et continue mes activités en journée.

Treks

Une marche jusqu'aux ruines de Walcayanin...

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 ... Pour me mettre en jambe avant la randonnée à la Laguna 69 le lendemain.

Altitude : 3800 mètres. Temps moyen de montée : 3 heures 30. Temps d'Adèle : 2 heures 50 (Appartée... pour ceux qui pensent que je suis enfin sportive et que je vais enfin rentrer avec un corps svelte... Faux! La bouffe péruvienne compense très bien le tout malheureusement...). Bon je l'accorde, les trois derniers kilomètres sont difficiles, c'est là que je commence vraiment à sentir l'altitude. Alors il faut prendre son temps : marcher 100 mètres et s'arrêter un peu, marcher encore 100 mètres et s'arrêter de nouveau. Mais l'effort en vaut la chandelle. Sur les derniers mètres, la lagune bleue turquoise s'offre à nous avec en arrière plan les montagnes enneigées, là, tout près. Alors plus qu'à se poser et contempler, en oubliant le froid peu agréable.

 

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Chavin de Huantar

A 3 heures de routes de Huaraz, ce village abrite des ruines archéologiques de la culture Chavin, pré-inca. Ce lieu  cérémoniel est chargé d'histoire, que le musée met bien en valeur. On comprend l'organisation de la cité, la valeur artistique, symbolique et religieuse des restes archéologiques, mais aussi le rayonnement de cette société sur toutes les communautés antérieures au Pérou. Après le néant d'informations du Machu Pichu, c'est agréable !

 

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L'Amazonie - 23 avril - 20 mai -

Et c'est là que je décide de partir pour l'Amazonie. J'avais fait l'impasse sur cette destination faute de temps, mais maintenant que mon billet d 'avion est repoussé, j'improvise un départ pour Iquitos et me joins à Christophe, le baroudeur. Ce français loco (fou) voyage depuis trois ans, entre l'Amérique latine, l'Australie et un peu l'Asie. Il a été cyclotouriste, voyageur en bateau-stop, guide à cheval en Argentine, fabriquant de fromage au Chili, agriculteur en Australie, skipper au Panama, fabriquant de planches de surf... et j'en passe ! Autant dire qu'il a de la bouteille (et un bon niveau d'espagnol !) mais tout en simplicité et joie de vivre. 

Après un passage éclair à Lima, où je me fais héberger chez une allemande rencontrée à Huaraz, et après quelques heures d'avion, nous atterrissons à Iquitos. Arriver par les airs donne une première vision époustouflante de l'étendue de la forêt amazonienne. Enfin... d'une petite partie... C'est dire si c'est difficile à se représenter.

L'Amazonie................................ Immense, unique, isolée, au-delà des frontières nationales, c'est avant tout une nature, une culture propres, inclassifiables. L'Amazonie ne ressemble en rien à ce que j'ai pu voir auparavant au Pérou. Pas la même histoire, pas les mêmes coutumes, pas la même vie. Pas de mamitas en costumes traditionnels, quasiment pas de routes (tout en bateau). Mais beaucoup de chaleur et d'humidité, beaucoup d'eau (saison des pluies oblige), beaucoup de motos-taxis, beaucoup de poissons, beaucoup de végétation. Une identité. D'ailleurs les habitants de cette région, isolée du reste du pays, revendiquent une identité forte, mais se sentent aussi laissés pour compte, abandonnés par le gouvernement et mal considérés.

Première impression d'Iquitos

A la descente de l'avion, la chaleur humide et moite nous envahit le corps et en quelques minutes nous sommes en sueur. Ensuite, c'est par les motos-taxis que nous sommes envahis, à peine nous avons sorti le pied de l'aéroport. Puis ça continue en ville, envahis par les rabatteurs d'hôtels et de circuits touristiques. Cette ville est vraiment particulière. Un parfum d'Amazonie avec son fleuve marron, qui innonde toute la région, sa pluie chaude, ses rues bordéliques, sa chaleur. Il y a des motos-taxis partout, qui plongent la ville dans un boucan incessant. L'architecture est particulière aussi, car elle garde de manière forte l'histoire coloniale de la région. Il y a des bâtiments imposants et des azuleros espagnols partout, les édifices sont colorés et sculptés. Les restes d'une époque prospère qui attirait les riches colons propriétaires des exploitations de caoutchouc.

Le mercado (marché) de Belen ne ressemble à aucun autre. Il s'organise en deux parties. La partie haute, au sec, est un dédale de devantures de magasins débordant d'articles, et de stands remplissant la rue. Des bâches sommairement installées sont sensées protéger de la pluie. Le sol est jonché de détritus mélangés à la boue. On trouve de tout comme toujours, on se déplace difficilement à travers la foule comme toujours, la rue des plantes médicinales attise la curiosité, comme toujours. Des jeunes filles traversent le marché, pancarte brandie à bout de bras, pour annoncer les numéros gagnants de la loterie, les étalages de poissons sont installés à même le sol, les vendeurs font la sieste en attendant le client, une odeur alléchante s'échappe des comedors (stands de bouffe) malgré le manque criant d'hygiène. La partie basse du marché est beaucoup plus atypique et hallucinante. La saison des pluies a complètement innondé le quartier. Les maisons en bois sur pilotis s'érigent les pieds dans l'eau. Pour se déplacer, il faut marcher en équilibre sur de petits pontons de bois qui tiennent par l'opération du saint-esprit, formant des labyrinthes de planches. Les gens sont là, nonchalament installés sous les préaus, dans un hamac, regardant avec curiosité et sourire aux lèvres les gringos (étrangers blancs) passer.

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 Après avoir écumé quelques agences touristiques d'Iquitos en vue d'une expédition dans la selva (jungle), tout cela nous fatigue et nous fait vite chier (excusez l'expression) donc nous décidons d'organiser tout ça par nos propres moyens. Direction Nauta, aux portes du parc national. Mais contre toute attente, 0 agence, 0 guide... Rien. Accompagnés d'Alex le londonnien, nous voilà tous les trois là, sous un préau à regarder tomber la pluie, en attendant on ne sait trop quoi... "Des gringos!!" Un flair légendaire ce Christophe, les deux étrangers reviennent justement de la jungle, accompagnés de Freddy leur guide. Finalement tout va très vite et tout est facile. Freddy nous rencarde vers un ami et rendez-vous est pris pour le lundi suivant à Requena. Ca nous laisse quelques jours pour profiter du pueblo (village) et de ses environs, et de profiter de la fête au village !

 

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 Première baignade dans un rio amazonien !!!

Et ballade au soleil couchant

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La selva baja (basse jungle) - Quatre jours à vivre la vie de pêcheurs amazoniens

Pour pénétrer dans la selva, il nous en coûtera de nombreuses heures de bateau. D'abord une lencha (bateau à moteur) rapide jusqu'à Requena où Juan notre guide nous attend.

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Scènes de vie à Requena...

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Puis quelques heures heures de pirogue à moteur jusqu'à Flor de Punga, où la famille de Juan nous accueille chaleureusement. Expérimentation d'un nouveau mode de couchage : le hamac !

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Puis encore six heures de bateau pour pénétrer pour de vrai dans la selva.  Juan et Juan-Carlos, son compagnon de pêche, connaissent par coeur la jungle, pas de probème pour la survie! Il faut d'abord préparer le campement sur l'eau car en cette saison des pluies, la selva baja est quasiment impraticable au sec. En 20 minutes ils nous improvisent une plateforme de bois à 50 centimètres de l'eau. Nous passerons quatre jours entre les planches au milieu des arbres, la chambre, et la pirogue qui sert de cuisine.

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Nous mettons la main à la pâte !!

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Au menu, des bêtes, à observer, à manger, à pêcher ! Une tête d'anaconda nous escorte quelques secondes près de la pirogue, des singes nous accueillent perchés à la cime des arbres, les caïmans se font surprendre dans la nuit, des oiseaux et des poissons en tout genre... Un singe, une grosse poule et une foule des fameux piranhas finissent dans notre assiette. Pour la douche et la lessive, rien de plus simple : une baignade dans le rio !

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La cuisine...                                                             Et voila comment on prépare un mono !! (singe)

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 La vaisselle aussi c'est dans le rio.

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Pas fière au début !!

Un coucher de soleil époustouflant.

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Nous faisons des concours en tous genres. A celui qui pêchera le plus de poissons (je perds), à celui qui chassera le mieux (je pers, je n'essaie même pas !), à celui qui rame le plus vite (je perds). Alors pour ne pas à avoir à payer toutes les tournées de bières, je gagne tout de même le concours de celui qui dansera en premier la salsa dans le seul petit bar du pueblito (petit village) de Flor de Punga !

Un voyage en lencha

Pour quitter Iquitos en direction de la côte péruvienne, je prévoyais depuis longtemps de faire la route en lencha lente. Trois jours de descente des rios amazoniens, dans un hamac, à regarder le paysage passer, j'en rêvais ! C'est donc le moment de dire au revoir à Christophe et partir pour de nouvelles aventures, après avoir acheté un hamac, histoire de grossir un peu plus le mochila (sac à dos).

 

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La lencha lente est un gros bateau de bois, qui flotte étonnemment aux vues de sa carcasse, qui s'élève sur trois étages. Le rez-de-chaussée pour le chargement, le reste pour les voyageurs. Il faut donc s'imaginer un grand espace ouvert, où s'aligent à touche-touche les hamacs. Comme voisinage, j'ai droit successivement à un petit singe apprivoisé, des mecs bourrés bruyants et trois petits perroquets qui donnent eux aussi de la voix.

 

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Trois jours de promiscuité, on fait rapidement comme chez soi et on part à la connaissance des voisins. Le capitaine, qui a vu que je voyage seule, me prend sous son aile. Je fais vite la rencontre de voyageurs avec qui nous formons une joyeuse bande. Il y a deux chiliens locos (fous), Richard le péruvien artisant et chaman, un couple franco-belge et un français de la Réunion. Pour les toilettes-douche, c'est vraiment en cas d'urgence et en apnée. Pour les repas, c'est soupe à l'eau du rio (fleuve) et un régime amazonien : riz, platanos (bananes plantin) et pollo (poulet). Le toit de la lencha est parfaite pour flâner au soleil, admirer le soleil se coucher et écouter Richard nous narrer les légendes amazoniennes. Sinon, c'est squattage de hamac, sieste, macramé et papotage avec les voisins.

Arrivée à Yurimaguas, je laisse encore place à l'improvisation pour continuer quelques jours le voyage à sept.

Tarapoto et la selva alta (haute jungle)

Nous faisons le trajet vers Tarapoto dans une camionnette, debout entassés comme du bétail. Mais en joyeuse troupe rieuse. A Tarapoto, l'hôtel prend vite des allures de colocation...

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... Nous assistons à un spectacle de danses folkloriques péruviennes. Une bonne et belle surprise.

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Nous partons ensuite pour quelques jours au village de "Dos de mayo" ("2 mai", oui oui c'est son nom !) où un ami de Richard nous ouvre généreusement les portes de sa maison. C'est reparti pour le dortoir de hamacs !

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Le village borde une belle lagune à l'eau tiède, des chevaux en liberté se balladent, l'athmosphère est paisible même si on sent que les gens vivent de peu de choses. Quelques instantanés me rappellent Madagascar : la terre rouge et les rizières, la pluie et les pieds dans la boue, les toilettes, un trou au fond du jardin...

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Puis en une nuit de bus, me voilà parachutée au bord du Pacifique, à Huanchaco, près de la ville de Trujillo. La région est plus fraîche (enfin ça va quand même) , mais surtout désertique. Du sable-terre à perte de vue. Quel changement de décor en quelques heures ! J'ai trouvé un petit nid dans la bibliothèque de l'hôtel de Luis, le "sculpteur-accumulteur". 

Bientôt la fin du Pérou. Ce pays m'a happée, la Fabi aussi d'ailleurs... J'adore ce pays, tant sa nature, sa culture, ses gens, tout est si beau... Alors sans m'en rendre compte, cela fait déjà deux mois et demi que je suis ici. Et je réalise que mon visa expire dans 15 jours, je dois donc passer cette foutue frontière équatorienne qui semble s'éloigner toujours plus au fur et à mesure que j'avance.

Mais avant bonne nouvelle! Si tout se passe bien, je retrouve ma Fabi dans trois jours, nous avons rendez-vous à Mancora, au nord du Pérou. Je l'accompagne jusqu'à la fin de son voyage... Avant de finir tranquillement le mien...

Abrazos muy grande a todos !!

Adèle

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Commentaires
S
salut salut,<br /> <br /> je suis tombee sur ton blog en faisant une recherche google, car je suis a present a pucallpa et je pars dans deux jours pour requena. je suis donc en recherche d'un guide pour partir quelques jours dans la jungle. Si tu pouvais me passer le contact de juan ce serait fantastique!! et me dire combien vous aviez paye.<br /> <br /> Merci de ta reponse (tu peux m'ecrire sur mon mail)<br /> <br /> et tres belle route a toi ou que tu sois!<br /> <br /> Servane
S
salut salut,<br /> <br /> je suis tombee sur ton blog en faisant une recherche google, car je suis a present a pucallpa et je pars dans deux jours pour requena. je suis donc en recherche d'un guide pour partir quelques jours dans la jungle. Si tu pouvais me passer le contact de juan ce serait fantastique!! et me dire combien vous aviez paye.<br /> <br /> Merci de ta reponse (tu peux m'ecrire sur mon mail)<br /> <br /> et tres belle route a toi ou que tu sois!<br /> <br /> Servane
M
bon anniversaire cousine !!!! et merci pour ton mail, c'est super sympa. Bon quoi dire, toujours des paysages trop beaux, une atmosphère qui se dégage de tes textes trop sympa et détendue. J'avoue que la partie sur l'Amazone m'a moins fait rêver..... sûrement rapport aux p'tites bébêtes..... Bref c'est toujours un régal de te lire. La bise et à très bientôt. Manue
L
Aujourd'hui 30 mai, nous avons particulièrement pensé à toi ! Très bon anniversaire.<br /> <br /> Quel magnifique voyage et superbes expériences........ <br /> <br /> Tes photos sont très belles et donnent vraiment envie d'aller voir soi-même.... sauf les vilaines bestioles.<br /> <br /> Très bonne fin de voyage avec de belle rencontre pour toi, Bises Adélou<br /> <br /> Lydie et François qui t'embrasse aussi
B
Un grand merci pour ces beaux textes et ce petit moment d'intimité partagé... Ca fait du bien de voir ces paysages et ca fait surtout du bien de penser a toi un grand sourire aux levres!<br /> <br /> Pour moi ca seras moins folklo mais je pars a rome demain matin en bus velorutionnaire (tout un programme..), je retourne voir NAPOLI et prépare mon voyage (j'bosse dans une crèche de septembre a decembre à Rome!!!).<br /> <br /> J'espère bien qu'on se croise cet été, au hasard de nos pérégrinations..<br /> <br /> Plein de bisous ma adèle y QUE LA PASA BIEN!!!
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